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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 09:36

Renault Zoé

Après un lancement retardé de près d’un an – la présentation officielle a eu lieu au salon de Genève 2011 –, la Renault Zoé est arrivée dans les concessions en mars. D’après le CCFA, elle se place d’ores et déjà au premier rang des ventes de voitures électriques depuis l’ouverture des commandes en début d’année, avec plus de 1 000 unités immatriculées pour le seul mois
de mars.

Quatrième et dernier modèle du programme Renault Z.E., la Zoé a été conçue entièrement autour de la technologie électrique, à la différence des modèles dits électrifiés. Équipée d’un moteur électrique de 65 kW alimenté par une batterie lithium-ion logée à plat dans le plancher, elle peut effectuer jusqu’à 210 km selon le cycle normalisé européen NEDC, soit l’une des meilleures autonomies offertes par un véhicule électrique de technologie lithium-ion. Un progrès dû entre autres à une pompe à chaleur pour le chauffage, un freinage récupératif et un aérodynamisme optimisé.

La Zoé reçoit également l’interface R-Link et ses applications Z.E. Connect, bien utiles pour localiser les points de charge aux alentours, recharger la batterie ou évaluer son autonomie. Outre la recharge normale sur secteur via l’installation Wall Box, Renault offre deux types de charge rapide : 11 kW (2 heures) ou 22 kW (1 heure).

Côté prix, la Zoé n’est disponible qu’avec sa batterie en location à partir de 79 euros par mois, au prix facial attractif de 13 700 euros, bonus de 7 000 euros déduit.

Bolloré Bluecar

Sur un marché encore balbutiant, la Bluecar de Bolloré reste le best-seller des voitures électriques en France, notamment grâce au déploiement du programme Autolib’ à Paris depuis près de deux ans. Plus de 1 500 exemplaires ont été vendus en 2012. Dessinée par le centre de design Pininfarina, cette citadine à trois portes de 3,65 m de long propose quatre places et un petit coffre.

Si la finition et le niveau d’équipements sont loin des standards des marques généralistes, Bolloré a décidé de commercialiser la Bluecar sur le marché des entreprises. La formule retenue passe par la location séparée des batteries à partir de 80 euros par mois, avec à la clé un prix compétitif de 12 000 euros bonus déduit.

Équipée d’un moteur électrique de 50 kW, la Bluecar accélère de 0 à 60 km/h en 6,3 secondes et peut atteindre 110 km/h, de quoi assurer une certaine polyvalence. Mais son meilleur atout reste sa batterie lithium-métal-polymère, qui a le mérite d’offrir une autonomie accrue par rapport à la technologie lithium-ion : entre 150 et 250 km selon les usages. Pour la recharge, la Bluecar peut se brancher soit aux bornes Autolib’ parisiennes moyennant un forfait mensuel de 15 euros, soit à une prise murale facturée 995 euros à installer dans le parking de l’entreprise.

Peugeot Ion Citroën C-Zéro

Juste derrière la Bluecar de Bolloré, le duo PSA Peugeot iOn et Citroën C-Zéro a pesé un tiers des parts de marché en 2012, avec près de 3 000 immatriculations. Ces deux jumelles, développées en partenariat avec Mitsubishi, ont profité à fond de l’entrée en vigueur du gros bonus de 7 000 euros l’été 2012 et des remises importantes accordées par PSA aux entreprises pour écouler ses stocks. Reste que ces clones de la Mitsubishi i-Miev ont pris un coup de vieux avec l’arrivée de la Zoé. Longues de 3,47 m, elles proposent cependant cinq portes et quatre vraies places, ce qui les rend assez pratiques au quotidien.

Le moteur électrique de 47 kW entraînant les roues arrière permet d’atteindre 130 km/h facilement et de circuler sur n’importe quelle route. Quant à la batterie lithium-ion logée à plat dans le châssis, elle assure une autonomie de 150 km et se recharge sur une prise secteur en six heures. Avec un prix de 22 500 euros bonus déduit, PSA n’offre plus de solution dégroupée avec location des batteries mais des solutions de location aux clients sociétés.

Mia

Avec sa silhouette original de petit autobus, la Mia se situe à mi-chemin entre les voiturettes électriques et les voitures de tourisme. Elle dispose de deux portes avant coulissantes et de deux longueurs (2,87 m ou 3,19 m). Le conducteur est installé sur un siège au centre à l’avant, tandis que deux ou trois passagers peuvent prendre place à l’arrière selon les versions.

Fabriquée depuis 2011 dans l’usine d’Heuliez à Cerizay, la Mia est équipée d’un moteur électrique d’une puissance modeste de 18 kW, pour atteindre tout juste 100 km/h. L’autonomie oscille entre 80 et 125 km selon le pack de batteries lithium-ion choisi : 8 ou 12 kWh.

Mia mise régulièrement sur des séries spéciales au design coloré, comme la dernière « Miamore » éditée à 50 exemplaires et dévoilée lors du Mondial 2012 à Paris. Effet garanti avec ses jantes en alliage de 16 pouces orange et ses habillages intérieurs de même colori.

À l’instar des autres constructeurs, Mia Electric – en difficulté – avance deux solutions de financement : achat en propre à partir de 16 500 euros bonus déduit ou à partir de 11 500 euros avec l’option de location de la batterie, soit 49 euros par mois sur 48 mois.

Smart fortwo ED

Commercialisée officiellement depuis début 2012 dans trente pays d’Europe, la fortwoo ED de smart est l’une des voitures électriques les plus prometteuses. Problème, elle accuse d’importants retards de production. L’usine de fabrication de Hambach en Lorraine a du mal à honorer les commandes et les livraisons se font au compte-gouttes. Il faut attendre jusqu’à un an pour recevoir son modèle.

Pour l’instant, une centaine de fortwo ED ont été écoulées depuis le début de l’année, dont une dizaine à Monaco. Dommage, car la technologie électrique réussit très bien à la fortwo, dont la vocation urbaine colle parfaitement aux usages de l’électro-mobilité. Nous l’avions essayée dans les rues de Berlin en 2010 au cours d’une opération pilote, et elle nous avait semblé très homogène.

Équipée d’une batterie lithium-ion logée dans le plancher, cette smart peut parcourir 145 km selon le cyle NEDC. Son moteur de 55 kW atteint 120 km/h et accélère de 0 à 60 km/h en 5 secondes. Vendue 17 500 euros bonus déduit ou 12 450 euros avec location de la batterie, la fortwo ED reste relativement accessible.

BMW i3

BMW prépare une lourde offensive sur le marché de l’électrique avec sa future marque BMW i et son modèle phare l’i3. Cette citadine au design futuriste arrivera dans les concessions en novembre. Si la version définitive n’a pas encore été dévoilée, le dernier concept i3 Coupé, présenté fin 2012 au salon de Los Angeles, en donne un bel aperçu.

Prolongement des expérimentations menées avec la Mini E et la BMW Série 1 Active E, cette i3 sera propulsée par un moteur électrique costaud de 125 kW offrant jusqu’à 160 km d’autonomie, grâce à un pack de batteries lithium-ion. À noter que la marque prévoit une hybridation optionnelle avec un moteur thermique « range extender » pour pousser l’autonomie à 300 km. Dans tous les cas, l’i3 bénéficiera d’un système de régulation thermique de la batterie, d’une pompe à chaleur pour réduire la consommation énergétique du chauffage (- 30 % par rapport à un système classique) et d’un éclairage extérieur et intérieur à Led.

L’i3 recevra le meilleur des technologies connectées avec son système télématique BMW i ConnectedDrive : géolocalisation des bornes de recharge, estimation de l’autonomie, gestion de la charge à distance, etc. Et ce avec un mode de calcul intelligent tenant compte des données topographiques et de la situation routière. Tarifs et solutions de financement seront dévoilés au salon de Francfort.

Volkswagen e-Up!

Après avoir expérimenté et produit en petite série une Golf Blue e-Motion, Volkswagen persiste et signe dans l’électrique avec son e-Up! En fait une déclinaison électrifiée de la mini-citadine qui sera lancée en fin d’année. Son look devrait à peine changer par rapport aux versions thermiques, tout juste devrait-elle recevoir des optiques à Led, un combiné d’instrumentation spécifique ou encore un logo bleuté.

Fidèle au premier concept dévoilé en 2011, l’e-Up! associe un moteur électrique d’une puissance maximale de 60 kW (210 Nm de couple) à une batterie lithium-ion d’une capacité de 18,7 kWh. De quoi offrir des prestations dans la moyenne : un 0 à 100 km/h effectué en 14 secondes et une vitesse maximale de 135 km/h. Selon le cycle normalisé européen NEDC, l’autonomie s’élèvera à 150 km. La batterie se recharge quant à elle soit sur secteur, soit grâce à la nouvelle prise rapide combo CCS (80 % d’énergie en 30 minutes).

Rendez-vous à Francfort pour connaître plus en détail l’offre de l’e-Up!, notamment son prix et ses disponibilités.

Fiat 500e

Dans la même logique que la smart fortwoo ED et la Volkswagen e-Up!, Fiat décline une version électrique de sa petite citadine, la 500e. Aperçue au salon de Genève dans une robe orange, cette 500 écolo est pour l’instant réservée au marché américain où elle sera commercialisée au deuxième trimestre 2013. Mais elle pourrait, en cas de succès, débarquer plus tard en Europe. Elle y aurait toute sa place en tant que petite urbaine branchée.

D’autant que la fiche technique est plutôt prometteuse : la 500e s’équipe d’un puissant moteur électrique de 83 kW, alimenté par une batterie lithium-ion de 24 kWh. Selon l’agence de protection de l’environnement américaine (EPA), l’autonomie se situe autour de 140 km. Fiat annonce par ailleurs un temps de charge court de quatre heures sur le réseau domestique.

Comme tout véhicule électrique moderne, la 500e reçoit une interface spécifique à la mobilité électrique et compatible avec les smartphones. Tout un programme qui permet de vérifier en temps réel l’état de la voiture, gérer la recharge à distance, évaluer sa consommation d’énergie ou encore localiser la voiture et les stations de recharge les plus proches.

Chevrolet Spark EV

Conscient du potentiel de l’électro-mobilité aux États-Unis, Chevrolet se lance à son tour sur ce créneau avec sa petite Spark EV, dévoilée au dernier salon de Genève.

Cette mini-citadine électrifiée sera disponible en Europe début 2014. Elle bénéficiera de certains organes mécaniques de sa grande sœur la Volt, à savoir un puissant moteur électrique de 100 kW (542 Nm de couple), capable de la propulser de 0 à 100 km/h en 8,5 secondes. Une mécanique presque surdimensionnée pour cette puce des villes de 3,6 m de long. Logée sous les sièges arrière, la batterie lithium-ion offre une capacité de 20 kWh et pèse 254 kg. Encore inconnue, l’autonomie devrait se situer dans la moyenne, autour de 150 km. Quant à la recharge, le constructeur américain avance plusieurs possibilités dont une charge rapide en courant continu pour « faire le plein » à 80 % en 20 minutes.

Flotauto 27/5/2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 08:18

Avec près de 1 100 immatriculations, le lancement de la Renault Zoe fait passer la part du segment des véhicules électriques à près de 0,8% du marché. Le segment hybride reste dominé par Toyota et représente 2,7% du marché.

Sans surprise, l’arrivée de la Zoe sur le marché fait passer les ventes de véhicules électriques en France à un niveau significatif. Au total, les 1 347 immatriculations de véhicules électriques représentent  0,8% du marché contre 0,24% l’année précédente (avec à l’époque 483 unités). Malgré le frein que constitue encore l’absence d’une infrastructure de recharge suffisante, 50% des immatriculations de véhicules électriques de mars sont des ventes à particuliers (soit une part similaire à celle du marché total).
La Zoe fait l’essentiel de ce segment avec 1 089 unités (soit 80% du total) grâce notamment aux livraisons alsaciennes (près de 500), la région offrant une prime de 5 000 euros (en plus des 7 000 euros de l’Etat) à condition que les immatriculations aient lieu avant fin mars. Sur l’ensemble des immatriculations de Zoe, les ventes à particuliers en représentent 56%, celles aux entreprises 14%. Avec 306 unités (soit en moyenne une par concession) les VD représentent 28% des immatriculations de Zoe.
La Leaf est le deuxième modèle sur ce segment avec près d’une centaine d’immatriculations (98 unités) dont 48% à particuliers, 12% aux entreprises et 40% en VD.
Le Bluecar, troisième vente de véhicule électrique en mars avec 50 unités n’a cependant pas conquis de clients particuliers ou entreprises puisque toutes ces immatriculations sont faites en véhicules de démonstration.
Les deux modèles PSA se situent désormais nettement en retrait avec 38 unités pour la Peugeot Ion (dont l’essentiel aux entreprises) et 3 immatriculations de C-Zéro. La Mia représente 22 immatriculations dont 9 ventes à particuliers.
Sur le segment des véhicules hybrides, les immatriculations restent sur la tendance du début d’année à presque 3% du marché (2,73%) avec 4 500 unités en mars (soit deux fois plus que l’année précédente).
Ce segment reste largement dominé par Toyota qui en représente 60% et les deux meilleures ventes avec la Yaris (28% de pénétration) et l’Auris (22%). La Prius est nettement en retrait puisqu’elle n’est plus que la 5e vente sur ce segment.
Le groupe PSA est le deuxième acteur du segment des véhicules hybrides avec une part de marché de 32%. La meilleure vente de ses trois modèles est de 3008 (en troisième position) avec 14% de part de marché, devant la 508 (10,5% de part de marché) et la DS5 (6,5% de pénétration).
Depuis le début de l’année les ventes de véhicules électriques représentent 2 245 unités, soit 10% des volumes prévu pour 2013 par le gouvernement (25 500 unités y compris avec les VUL) dans le cadre de la prime de 7 000 euros. 
Les immatriculations de véhicules hybrides avec 12 000 unités depuis le début de l’année représentent 18% des volumes annuels prévus par le gouvernement (67 000).

 

Autoactu.com le 05/04/2013

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 08:04

Pour le deuxième mois consécutif, la Clio 4 devance la 208 en mars avec cette fois une nette avance. Sandero, Classe A et Auris sont les trois plus fortes progressions du mois.

Avec 12 524 immatriculations en mars, la Clio 4 prend très nettement la tête du hit-parade  des ventes France avec une part de marché de 7,58% et presque 2 900 unités de plus que la 208 (9 658 immatriculations) à 5,84% de part de marché. Dans un marché global en recul de 16,4%, la Clio 4 réalise même des volumes identiques à ceux de la Clio 3 en mars 2012 (12 448).
Cette performance permet à Renault de reprendre nettement l’avantage sur le segment B avec un cumul Clio 3 et 4 (à 14 258 unités) qui devance également les 208/207/206 (12 418 unités).
La C3 a l’inverse subit les conséquences du blocage de l’usine d’Aulnay qui en affecte la production alors qu’elle est également en phase de renouvellement. En conséquence ses volumes baissent de 40% (3 832 unités) à 2,34% de part de marché, soit la 5e place du hit-parade des ventes. Citroën estime à 1 point de part de marché cette perte de volume, soit 1 600 unités.
Le Peugeot 3008 progresse dans le hit-parade en mars et se situe à la 4e place avec 3 867 unités (-20%), soit un volume quasiment identique à celui de C3. La part des versions Hybrid 4 est de 16% de ses volumes (643 unités).
La Golf dont les volumes baissent moins que le marché (-11,5%) progresse également dans le hit-parade de mars et se classe au 6e rang avec 3 749 unités (dont 600 Golf 6). Pour le deuxième mois consécutif elle devance la Polo (13e, -32% à 2949 unités) au sein de la gamme VW.
La Twingo reste dans le top 10 (à la 8e place) grâce à des volumes qui se maintiennent dans la tendance du marché (-15% à 3 558 unités) sur un segment en fort repli alors que ses concurrentes françaises sont loin derrière avec une 107 au 45e rang (990 unités, -24%) et une C1 au 47e rang (927 unités, -45%).
La Sandero progresse de 51% et se situe au 11e rang de ce hit-parade (2 970 unités, 1,8% de part de marché).
Nissan et Toyota font partie des rares marques qui ont plusieurs modèles en hausse en volume. Ainsi, pour la première fois le Qashqai (+8% à 3 383) entre dans le top 10, à la 9e place et représente 2% du marché français. Le Juke est lui aussi en hausse (+2,7%) et se classe 19e (1,5% de part de marché).
Les Toyota Yaris et Auris qui progressent également dans ce classement (respectivement 18e et 36e) bénéficient notamment d’une forte poussée de leurs versions hybrides qui représentent 49% des volumes de Yaris (2560, +19% dont 1262 hybrides) et 80% de ceux de l’Auris (1 205, +66%, dont 963 hybrides).
Parmi les modèles qui progressent fortement sur le mois de mars citons la Classe A (+107%, au 30e rang), l’Audi A3 (+32%, 33e rang), la Kia Cee’d (+288%, 51e rang).

 

Autoactu.com le 03/04/2013

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 13:12

la lettre européenne d'Eurotax, "Model Information News"

 

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www.autoactu.com/documents/2013_MARS_EUROTAXGLASS_S_NEWS_LETTRE_INFORAMTION_NOUVEAUX_VEHICULES.pdf

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 12:52

Avec des performances remarquables en termes de consommation et d’agrément de conduite, la nouvelle Mazda 6, proposée au même prix en berline et en break, doit notamment séduire la clientèle des entreprises.

Après le SUV CX-5, Mazda poursuit le renouvellement de sa gamme avec la Mazda 6 sur le segment des berlines de gamme supérieure, un segment qui représente 6,2 % du marché européen et 100 000  unités en France. Avec un objectif de vente de 1 800 unités, soit 1,8% du segment, Mazda France veut faire beaucoup mieux que sa part de marché globale de 0,3% réalisée l’année dernière. La marque compte notamment réaliser 30 à 40% de ses volumes auprès des entreprises (contre 15 % avec l’ancienne Mazda 6) grâce à une valeur résiduelle de 42% sur 36 mois, selon l’Argus, et une TVS de seulement 432 euros, avec son moteur Diesel 2.2 150 ch.
"Nous aurons du mal à nous aligner sur les tarifs que les constructeurs français proposent aux grands comptes mais nous comptons approcher localement les PME, notamment avec une trentaine de distributeurs structurés pour offrir un service de proximité de qualité", indique Philippe Geffroy, président de Mazda France.
La Mazda 6 a de nombreux atouts à faire valoir, à commencer par les performances de son moteur Diesel 2.2 150 ch, répondant déjà aux normes Euro 6 (NOx et particules fines). Associé à un allègement de 100 kg du poids total du véhicule, ce moteur, qui équipe déjà le CX-5, offre des niveaux de consommation et d’émission de CO2 record : 4,2 l. au 100 km pour 108 g/km, soit aucun malus. Malgré cette baisse de 20% de la consommation par rapport à l’ancienne Mazda 6, la puissance et l’agrément de conduite restent au rendez-vous. 
Pour réduire ses émissions, outre l’amélioration du rendement moteur, la Mazda 6 est équipée en série d’un stop&start et inaugure un système de récupération de l’énergie à la décélération relié à un condensateur qui alimente les équipements électriques.
Avec une longueur de 4,86 m (+13 cm), la Mazda 6 est particulièrement grande, pour notamment satisfaire aux attentes du marché américain. Son empattement de 2,83 m lui permet d’offrir un espace aux jambes à l’arrière record. La version break est légèrement plus courte (4,80 m) mais propose un coffre de 522 l (contre 489 l pour la berline). Commercialisé au même moment et au même prix que la berline, le break devrait séduire plus de 40% de la clientèle française, estime la marque. Avec le moteur 2.2 150 ch qui devrait représenter l’essentiel des ventes, le break est proposé à partir du deuxième niveau de finition, incluant notamment un système de navigation, un système BlueTooth, le régulateur de vitesse et un système de freinage d’urgence automatique, au prix de 30 050 euros.

 

Autoactu.com le 21/3/2013

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